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La isla de Goree o Gorée es a la vez una isla en el Océano Atlántico Norte en la bahía de Dakar (Senegal) y uno de los 19 distritos administrativos de la capital. Es un símbolo en lugar de la memoria de la trata de esclavos en África, oficialmente reconocido por las Naciones Unidas (ONU) en 1978: Gorée, "isla-memoria" de esta tragedia fue así uno de los primeros lugares para ser usados en la Lista del Patrimonio Mundial administrado por las Naciones Unidas para la Educación, la Ciencia y la Cultura (UNESCO).
El explorador portugués Dinis Dias llegó a la isla de Gorée en 1444, nombró a "Palma" 1. Los holandeses se apoderaron de Gorée en 1617 y la llamó Goede Reede "buena bahía" étimo del nombre actual. Los franceses se implantan en la isla el 1 de noviembre 16.772, pero el Inglés que sostienen esa posición hasta la Paz de Amiens en 1802. La isla fue ocupada por los británicos desde 1804 hasta 1817 y luego regresó a Francia.
El esclavo perdura durante tres siglos en la costa africana (Gambia, Saint-Louis, Senegal, Benín, Ghana ...). Los centros de los campos de concentración de esclavos africanos con destino a América se ubican principalmente en St. Louis, el punto focal de la trata de esclavos árabe-musulmán y europeo.
En Gorée, la antigua casa de la signare Anna Colas Pépin (Anne Pépin sobrina), conocida mundialmente como la Casa de los Esclavos, es un lugar más simbólico histórico. De hecho, el paso de los esclavos de Gorée era una minoría: 900 and1 500 personas, según el historiador estadounidense Philip Curtin.
En línea recta, las ciudades más cercanas son Dial Diop, Dakar-Plateau, Dakar, Bel Air, Thiaroye-sur-mer, Mbao Diokoul, Keuri del Sur, Tiawlene, Bargny Guedj, Minam, Yene Tode, Toubab Dialo, Tilène y Keur Dib.
Los primeros colonos eran pescadores. Siguiendo la isla experimentó prosperidad económica real, incluyendo relacionada con el comercio. Hoy en día el turismo y sus derivados constituyen sus principales recursos.
Le navigateur portugais Dinis Dias atteint l'île de Gorée en 1444, qu'il baptise « Palma »1. Les Hollandais s’emparent de Gorée en 1617 et la baptisent Goede Reede, « la bonne rade », étymon du nom actuel. Les Français s'implantent sur l’île le 1er novembre 16772, mais les Anglais leur disputent cette position jusqu'à la paix d'Amiens en 1802. L'île fut occupée par les Anglais de 1804 à 1817 puis rendue à la France.
La traite des esclaves perdure pendant trois siècles sur les côtes africaines (Gambie, Saint-Louis du Sénégal, Bénin, Ghana…). Les centres concentrationnaires des esclaves africains en partance pour l’Amérique se situent surtout à Saint-Louis, point de convergence de la traite négrière arabo-musulmane et européenne.
À Gorée, l'ancienne demeure de la signare Anna Colas Pépin (nièce d'Anne Pépin), connue dans le monde entier sous le nom de Maison des Esclaves, est un lieu plus symbolique qu’historique. En effet, le passage des esclaves par Gorée fut très minoritaire : entre 900 et1 500 personnes d'après l'historien américain Philip Curtin.
À vol d'oiseau, les localités les plus proches sont Dial Diop, Dakar-Plateau, Dakar, Bel Air, Thiaroye-sur-mer, Mbao, Diokoul, Keuri Souf, Tiawlene, Bargny Guedj, Minam, Yene Tode, Toubab Dialo, Tilène et Keur Dib.
Les premiers occupants étaient pêcheurs. Par la suite l'île a connu une véritable prospérité économique, notamment liée au commerce. Aujourd'hui le tourisme et ses dérivés constituent ses principales ressources.
Dès 1944, l'administration coloniale française décide de mesures de sauvegarde en vue de prés erverl'authenticité du patrimoine historique de l'île3. Par la suite, en novembre 1975, le patrimoine architectural de Gorée est inscrit sur l'inventaire des monuments historiques du Sénégal et figure depuis septembre 1978 sur la liste du patrimoine mondial établie par l'UNESCO.
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